Lors d’un arrêt cardiaque, s’occuper du cerveau augmenterait les chances de survie.
Dans les instants précédant la mort, le cœur est le centre d’intérêt de personnes engagées à sauver la victime. Logique puisque lorsque le cœur cesse de battre, la circulation sanguine cesse et le reste du corps s’éteint lentement. Une nouvelle reche