Le rhinite allergiques est une inflammation nasale, est un trouble répandu dans 40 % de la population. La rhinite allergique en constitue un type précis, résultat d’une inflammation des parois nasales provoquée par des anticorps en réponse à un allergène. Selon la Dre Assia Hassaine de la Clinique d’allergie et d’asthme de Montréal, l’allergie saisonnière est une maladie qui touche entre 20 % et 25 % de la population nord-américaine.
Pour prévenir les symptômes d’allergies, il est recommandé d’éviter d’entrer en contact avec les allergènes, c’est-à-dire les agents qui déclenchent la réaction allergique. On peut diminuer l’intensité des symptômes en suivant certaines recommandations durant les périodes suivantes:
– Pollens d’arbres (érables, bouleaux, chênes, frênes, hêtres, peupliers, ormes) : mars-avril à juin.
– Pollens de graminées-gazon : mai à août
– Pollens d’herbe à poux (ambroisie) et armoise Mugwort) : août – octobre
De plus, voici quelques trucs pour réduire l’intensité des symptômes des allergies au pollen :
– Gardez les portes et fenêtres fermées
– Évitez de tondre la pelouse ou de fréquenter des zones où l’allergène est présent, comme les parcs et les sous-bois
– Évitez de faire sécher le linge à l’extérieur
Lorsque les symptômes persistent et minent votre qualité de vie, certains médicaments en vente libre sont disponibles. Les antihistaminiques oraux sont les médicaments de première intention contre la rhinite allergique. Les corticostéroïdes par voie nasale sont, pour leur part, recommandés comme traitement de deuxième ligne chez les patients souffrant d’une rhinite allergique légère. À ce sujet, il est important d’en parler à votre pharmacien pour identifier le traitement qui vous convient le mieux.