L’Agence de santé publique du Canada (ASPC) vise à améliorer la santé des Canadiens. Pour se faire, elle mise sur la prévention des maladies et des blessures. D’ailleurs, elle mentionne dans un plan de prévention l’importance des maisons funéraires d’être préparées en cas d’une épidémie de grippe influenza.
Lors d’une pandémie, une maison funéraire peut devoir gérer l’équivalent de six mois de travail en seulement six à huit semaines. Bien que cela puisse n’entraîner aucun problème pour certaines communautés, les grandes villes risquent de ne pas pouvoir gérer la forte demande, avertit l’ASPC.
Parmi ses recommandations macabres, l’ASPC suggère notamment aux maisons funéraires de planifier des solutions si leur personnel tombe malade pendant la pandémie. Elle conseille par exemple de faire appel à des bénévoles pour creuser les tombes.
À lire également: Un foyer pour personnes âgées limite ses résidents à 2 rouleaux de papier toilette par semaine
Le guide 2015 de l’ASPC mentionne que les pandémies se produisent trois à quatre fois par siècle. Toutefois, elle note également qu’il n’y a pas d’intervalle prévisible.