Plusieurs études suggéraient des faits très inquiétants pour les propriétaires de chat. Certaines indiquaient qu’un parasite qui se trouve souvent dans les excréments de chat altérait la chimie du cerveau humain et augmentait le risque de développer la maladie d’Alzheimer et la schizophrénie. Toutefois, une nouvelle étude menée par la University College London (UCL) révèle qu’il n’y a aucun lien entre ce parasite et la possibilité de développer une psychose.
Les chercheurs expliquent que les études précédentes ne tenaient pas en compte les autres facteurs pouvant expliquer les symptômes psychotiques. En contrôlant les facteurs comme le statut socioéconomique et le surpeuplement des ménages, ils ont découvert que les chats sont innocents.
Les chercheurs n’ont pas mesuré directement l’exposition au parasite. Par contre, les données recueillies suggèrent que si le parasite provoque réellement des troubles de santé mentale, son exposition augmente très peu en possédant un chat.
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Les femmes enceintes doivent cependant rester prudentes et ne pas vider elles-mêmes la litière, car les preuves scientifiques sont plutôt solides entre le parasite et les risques de santé pour l’enfant à naître.