Le curcuma est l’une des épices préférées des nutritionnistes. Cette poudre, que l’on distingue notamment à sa couleur unique, peut apporter de grands bénéfices à l’homme grâce à ses propriétés anti-inflammatoires, antivirales et antioxydantes. Généralement, cette épice est capable de détoxifier l’organisme humain, de soulager l’arthrite et de favoriser une bonne circulation sanguine. Malheureusement pour ses amateurs, la consommation de curcuma comporte également son lot d’inconvénients, le plus important étant que cette épice interfère avec certains médicaments très communs.
Certes, beaucoup de gens l’ignorent, mais le curcuma peut avoir de graves effets secondaires lorsqu’il est consommé peu de temps avant ou après la prise de médicaments. Il ne s’agit pas d’une blague : dans le pire des scénarios envisageables, le mélange de cette épice et d’une quantité moyenne de substances médicamenteuses peut provoquer la mort. Pour éviter de commettre une erreur fatale, voici la liste complète des médicaments contre-indiquent la consommation de curcuma.
Les anticoagulants
Le curcuma est un puissant anticoagulant naturel. Si vous consommez déjà des médicaments ayant des propriétés anticoagulantes (aspirine, clopidrogrel, warfarine), l’ingestion de curcuma en doublera les effets. Résultat : en cas de blessure, la coagulation sanguine deviendrait purement impossible. Évidemment, cela pourrait provoquer de graves hémorragies (internes comme externes).
Les antiacides
En plus de ses propriétés anticoagulantes, le curcuma est reconnu pour ses propriétés digestives, puisqu’il favorise la production d’acide gastrique. Théoriquement, cela rend plus facile le processus digestif … excepté auprès des personnes qui produisent naturellement trop d’acide gastrique! Ces individus, qui consomment généralement des médicaments comme Zantak, Pepcid, Tagamet et Oméprazole, ne devrait pas mettre de curcuma dans leurs plats.
Les antidiabétiques
Le curcuma altère les effets des médicaments antidiabétiques. Vous ne devez donc absolument pas en manger si vous souffrez d’un diabète diagnostiqué et médicamenté. Autrement, vous pourriez tomber en hypoglycémie. Dans le meilleur des cas, vous souffririez « seulement » de troubles de la vision, d’hallucinations, de troubles du sommeil et d’anxiété.
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