Advertisements

Les rumeurs à propos des repas du meilleur nageur de tous les temps, l’Américain Michael Phelps, ajoutent à sa légende. Rappelons que peu avant les jeux de Pékin en 2008, Phelps, alors âgé de 23 ans, avait assuré engloutir près de 12 000 calories par jour. Cette semaine à Rio, pressé de questions des médias, il a affirmé consommer moins de calories qu’à l’époque, ajoutant qu’il y avait peut-être eu un peu d’exagération à propos de son alimentation dans le passé.

Chose certaine, Phelps remporta huit médailles d’or à Pékin (un record) avec un régime composé de sandwichs aux œufs avec fromage et oignons frits. Le tout était suivi de crêpes aux pépites de chocolat, de pain doré, de gruau de maïs et d’une omelette à cinq œufs. Et ce n’était que le petit-déjeuner!

Le midi, il se contentait de deux sandwichs jambon et fromage, d’une boisson énergétique et d’une platée d’une livre de pâtes. Il complétait sa routine au souper avec une pizza entière suivie… d’une autre livre de pâtes.

Il ne faut pas se surprendre du nombre de calories absorbées par un athlète de la trempe de Michael Phelps, surtout en prenant compte du nombre d’heures qu’il passe dans la piscine. Certes, il affirme s’entraîner un minimum de cinq heures par jour, six jours par semaine.

                                                                                                                     

Et que mange-t-il maintenant?

Le nageur avoue être un amateur de cuisine mexicaine. De plus, il consomme plusieurs types de viandes sur le grill (hamburger, hot dog, steak et beaucoup de poulet). Ainsi, il semble que Phelps opte pour un important apport de protéines pour Rio. Le matin, les œufs et le jambon sont toujours au menu, de même que le gruau auquel il ajoute des fruits frais.

Le midi, il se contente souvent d’un sous-marin aux boulettes de viande. Le plus étonnant, c’est qu’il a repris son habitude de manger une platée de pâte le soir, bien qu’il affirme avoir mangé trop de spaghettis dans sa vie pour encore pouvoir les apprécier. « Mais il faut ce qu’il faut », ajoute celui qui écrit l’histoire à chacune de ses courses.

Advertisements