Peu importe le contexte, ça ne prend jamais grand-chose pour parvenir à se blesser. Se cogner les orteils sur le coin d’une armoire parce que nous avons mal calculé nos distances, se frapper un doigt à grand coup de marteau lors d’une séance de rénovation à cause d’un manque de visou, s’érafler les genoux en tombant à vélo parce que la chaussé est glissante : une simple erreur de jugement ou une petite erreur de calcul sont généralement suffisantes pour se faire mal.
Évidemment, cette règle est valide dans toutes les sphères de notre vie … même dans notre vie sexuelle. En effet, selon une récente étude, les blessures survenant lors d’une relation intime sont plus fréquentes qu’on ne le pense.
En 2015, la scientifique Nicole Prause, chercheuse affiliée à l’Université de la Californie à Los Angeles (UCLA), s’est questionnée à savoir quelles sont les blessures les plus courantes survenant lors d’un rapport sexuel entre un homme et une femme. Dans le but de satisfaire sa curiosité, et celle de milliers de personnes à travers le monde, Prause a demandé à 500 volontaires de recenser les blessures qu’ils avaient subies en faisant l’amour. Après compilation des résultats, trois blessures semblent ressortir du lot. Les voici!
#3 : L’irritation des parties génitales masculines
La majorité des hommes avouent avoir déjà aperçu de petites croûtes sur leur pénis. Ces lésions seraient généralement provoquées par des rapports sexuels trop longs et fréquents. Le manque de lubrifiant lors de la pénétration pourrait aussi expliquer l’irritation.
#2 : Les brûlures « de contact »
48% des sujets sondés affirment avoir déjà été victime de brûlures dues à des mouvements de va-et-vient trop brusques contre un tapis, ou toutes autres surfaces pouvant frotter contre la peau. Les parties du corps touchées sont généralement les genoux, les coudes, les mains, ainsi que l’intérieur des cuisses.
#1 : Se cogner la tête
50 % des sujets sondés ont avoué s’être déjà blessés à la tête lors d’un rapport sexuel. Les murs, la tête de lit, les armoires de la cuisine : dans l’excitation du moment, les hommes et les femmes seraient moins concentrés, et leur notion des distances en serait généralement atteinte.